mardi 7 juin 2016

N'est-ce pas donc...



Tragon doit être un sacré cordon bleu,
car presque à chaque fois que nos convives apprécient un de nos plats,
elles s’exclament : “Est-ce Tragon ?”




jeudi 2 juin 2016

Obligeance Démocratique


Je me demande si les riches et les puissants sont vraiment concernés par l’impact des grèves et autres blocages sur le peuple.

Je me demande s’il ne serait pas intéressant d’utiliser toutes les énergies et toutes les ressources dont nous disposons pour amener nos responsables politiques à faire ce pourquoi nous leur avons donné mandat.

C’est ce que j’appellerais l’Obligeance Démocratique.

À mon humble avis, “bloquer tout un pays” est un leurre dans la mesure où ce n’est qu’une formule : tout le pays n’est pas bloqué, c’est juste son peuple qui l’est.

Je me demande si les grèves ne bloqueraient pas plutôt les activités de ceux qui en ont le plus besoin, sans que les autorités concernées ne soient véritablement bousculées ni dans leurs convictions, ni dans leur façon de traiter la population.

Je me demande si nous ne pourrions pas utiliser les bonnes volontés de ceux qui veulent aider le changement populaire positif de manière beaucoup plus efficace.

Je me demande s’il ne vaudrait pas mieux que tous les grévistes - qui souffrent eux-mêmes et bloquent aussi inutilement les plus démunis - signifient fermement aux autorités qu’il peut coûter très cher de négliger les besoins d’un peuple tout entier.

Je me demande donc s’il ne serait pas très productif finalement, d’aller simplement s'asseoir en masse tout autour des instances des véritables responsables, dans un siège symbolique mais réel, pour montrer à quel point un peuple entier doit être respecté.

La première fois, il ne s’agirait que de quelques heures, juste pour montrer.
S’il devait y avoir une seconde, elle pourrait durer un journée.
S’il était besoin d’une troisième, elle pourrait encore un peu plus insister…

Une petite voix, probablement celle du bon sens, me dit que les grèves et les manifestations ne servent plus à grand chose de nos jours - les riches et les puissants ont appris à n’en pas souffrir - et qu’il est temps d’inventer une nouvelle façon, toute en douceur mais en très grande force, de faire entendre le peuple.

Imaginez une foule assise, pacifique, immobile, bloquant tous les accès autour des centres de pouvoir, juste pendant 1 heure ou deux, puis tout le monde se relève et rentre à la maison, en promettant de revenir plus longtemps s’il en était besoin…

Ne pensez vous pas que les convictions des puissants pourraient ainsi être remises en cause vers plus de considération démocratique ?





vendredi 29 avril 2016

Homme mage !

L'incroyable acuité psycho autant que logique des doodles du jour ne pouvait pas me laisser insensible devant ce qui restera dans l'Histoire comme la plus belle analyse de ce qui peut se passer dans l'esprit d'un inventeur.
Suivez mon regard sans ôter le miroir.
Et j'ose dire ceci sans aucune fausse modestie outrecuidante et donc grillée.

Mais fi des mots démons, faisons place à l'image, à la magie, que dis-je, à l'imagique :





Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.




samedi 9 avril 2016

Émerveillement


Chaque jour est un jour nouveau,
qui laisse le passé pour s'en rappeler,
et regarde l'avenir pour espérer.




dimanche 20 mars 2016

Empruntant le bonheur

En printemps le bonheur aujourd’hui,
l’un, brun, s’étend dans l’instant, l’autre, de blanc et de noir, allume ces thyms







vendredi 4 mars 2016

L'âne y verse, hère !

Hier, le 03 mars, cela faisait treize ans que sur une insistante demande familiale nous sommes revenus nous installer dans la région toulonnaise, après avoir scellé notre sort, confiants.
Le 03/03/03 donc, nous nous installions pour quelques mois dans l’appartement provisoire que nous occupons encore aujourd’hui, heureux qu’une longue lutte cesse enfin de guerre lasse, pauvres fous que nous étions d’avoir encore et malgré tout cru en la parole d’une famille qui n’a de familiale que l’apparence, d’un patriarche qui n’a d’un père que le nom.
Treize ans. Très envie de hurler, oui.
Pardonnez cette énigmatique publication, dans laquelle vous pouvez cependant deviner le désarroi qui m’assaille, m'assomme, me meurtrit chaque jour, et me déchire chaque nuit.
Rassurez-vous - ou tremblez, c’est selon qui vous êtes et ce que vous faites - viendra le temps où la vérité surgira, où les souffrances s'apaiseront devant une force tranquille enfin installée, et où la justice ne sera plus un vain mot paravent, mais une réalité au delà de l’atroce, plus puissante que l'insupportable, plus douce à mon cœur que la plus grande des victoires.
Le Sphinx était connu pour dévorer ceux qui échouaient devant ses énigmes, mais à ce vieux lion à tête humaine, à cet hybride monstrueux et stérile dévoreur d’innocences fragiles, je préfère le Phœnix, cet oiseau merveilleux de beauté et de ressources inépuisables, qui toujours de ses cendres a su, sait et saura renaître.




lundi 29 février 2016

La journée bissextile

Aujourd'hui nous sommes le 29 février, Journée bissextile.
Comme tous les 4 ans il va encore falloir que je supporte les ardeurs de mes oncles et tantes.
Mais je commence à me demander si on ne m'aurait pas menti...


(merci à Google pour son Day-Doodle si justement illustratoire)