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mercredi 17 août 2016

Hier soir, de retour après un cocktail raté

Hier soir, de retour après un cocktail raté, sans glace, bref un moment comme je n'en souhaiterais pas à mon pire ennemi...

Et bien même ces expériences extrêmes de détresse sans nom peuvent apporter du positif.

Pour nous ce fut la confirmation autant profonde que philosophique - ce qui est un quasi pléonasme tendant à enfoncer le clou dans un bois déjà bien attendri - du fait que pour être heureux, il suffit de l'être. Et de bien vouloir s'en apercevoir.

Car l'ensemble de nos petits bonheurs est bien supérieur à la somme de nos instants magiques !

O:-)

dimanche 20 mars 2016

Empruntant le bonheur

En printemps le bonheur aujourd’hui,
l’un, brun, s’étend dans l’instant, l’autre, de blanc et de noir, allume ces thyms







dimanche 31 janvier 2016

Épis cure


Il était un temps où les français avaient la réputation de transporter leur pain sous l'aisselle.

On dit même que dans son dos, le reste de la planète se gaussait de tant de manque d’hygiène en affirmant que le goût du pain français venait plus de ce mode de transport que du savoir faire des boulangers, bien plus occupés à surveiller leurs épouses qu’à parfaire leur maîtrise.

Et puis il y a eu les grandes surfaces cuiseuses de pâtes à pain industrielles surgelées, produisant des baguettes qui auraient été parfaites si elles n’avaient pas été soumises aux caprices des uns et des autres, à la portée des mains de tous. Oui, les mêmes qui transportaient leur pain précédemment à l’aide de leurs aisselles, et qui joyeusement pouvait désormais répandre le même humus sur les pains des autres.

Ensuite les moyennes surfaces qui voulaient ressembler aux bons boulangers d’antan, mais avec le débit des cuiseurs suscités. Le prix des uns, la qualités des autres.

Bref tu l’as compris cher lecteur, il me fallait trouver l’alternative, la solution qui remplirait ma maisonnée de la bonne odeur de pain chaud matinal en préservant mon confort, sans diminuer mon plaisir.

Réjouis toi l’ami, j’ai trouvé et je partage avec toi ce bonheur somme toute à portée de toutes les bourses : la machine à pain est une réussite, un vrai progrès, un robot utile, un serviteur automatiquement dévoué.

C’est fou comme 500 grammes de pain peuvent t’offrir de la joie et de la bonne humeur ! 

La photographie te montre mon pain de ce matin, que j’ai obtenu comme suit : 

200 ml d’eau, 350 g de farine de blé (T55), 10 g de sel, 10g de sucre, et 5,5 g de levure boulangère. Le tout disposé la veille au soir en couches bien ordonnées dans une machine à pain achetée 73 €, programmée pour tout faire toute seule - mélange des ingrédients, pétrissage de la pâte, mise en forme, et cuisson du pain tel que tu le vois sur la photo - et me présenter mon pain tout chaud, m’enveloppant d’une odeur magnifique au réveil, que je me suis empressé de compléter avec celle d’un bon café pression vapeur. 


Mais ceci fera probablement l’objet d’un autre article...

lundi 21 juillet 2014

Livre de visage, je te tourne le dos et vogue ainsi vers d'autres horizons !

Un petit 'euphorisme philoétique' comme parfois je succombe à en commettre :

On ne dit pas "le jeu de goéland",
mais "ce jeu d'échecs asiatique s'installe dans la durée".

J'avais, il y a quelque jours, publié ce mot - qui n'a d'esprit que celui qui le lit - sur Facebook.

Comme j'avais également l'habitude de publier des photos que je trouvais agréables à regarder et dont je voulais partager la beauté, ou encore d'autres publications originales comme des liens au sujet de mes inventions, et également des petites vidéos très courtes montrant simplement des paysages, des moments fantastiques, des instants magiques, etc.

Vous en trouverez quelques unes ci-dessous.

Beaucoup d'entre-vous se sont inquiétés de ma disparition de fb.
Je vous remercie infiniment de la délicate attention que vous m'avez porté, et bien que j'aie répondu à chacun d'entre vous qui m'avez fait la gentillesse de m'écrire, je tiens à expliquer ici pour les autres le pourquoi de ma décision : c'est simplement le choix d'un temps qui n'est pas extensible et que je préfère passer sur mes projets.
Comprenez : d'un côté il y a un réseau social addictif et chronophage qui n'a pas besoin de moi pour exister et de l'autre il y a des projets créatifs et constructifs qui demandent toute mon attention...

J'ai hésité à fermer mon compte par rapport à mes nombreux amis fb qui sont des personnes absolument délicieuses et qui méritent les meilleurs égards, et finalement j'ai conclu que ceux qui voudraient suivre mes activités pourraient s'abonner facilement et rapidement aux mises à jour de mes publications en enregistrant leurs adresses emails sur mes blog : icelui en ce qui concerne mes activités personnelles bien sûr, et le nauticaerium comme le conceptarum pour suivre mes projets de R&D.

Vous pouvez aussi me contacter via l'adresse mél : blogguy@adalius.fr.